C'est vrai que la frontière n'est pas loin du port de La Linea de la Concepcion et qu'il n'y a pas un mur de séparation pour le temps ! Nous sommes pourtant en Espagne, au sud en plus, avec un temps aussi pourri qu'à Londres ! Cela fait deux jours que ça dure, pratiquement depuis que nous sommes arrivés à Gibraltar mardi après-midi. Le rocher Almerimar_Gibraltar_035.jpg Gwenn Ha Du sous la pluie

Comme l'a écrit Brigitte effectivement nous sommes arrivés à Gibraltar après 24 heures de navigation au moteur, une fois de plus. Première vision du Rocher avec de la brume sur les hauteurs. Le lendemain la brume s'est changée en grisaille, le matin, et en pluie l'après-midi. Jeudi 24, nous décidons quand même d'aller visiter Gibraltar, malgré la pluie, si nous attendons le soleil, nous risquons d'attendre longtemps, c'est qu'ils sont vraiment trop forts ces anglais ils ont réussi à importer jusqu'à leur météo. Pluie, bruine, grisaille. Même les singes semblent plus le supporter que l'apprécier. singes humides Autre incongruité la frontière, c'est ni plus ni moins que la piste d'atterissage. Fou, non! route, frontière et piste d'aviation

Le rocher n'est pas une escale qui restera pariculièrement forte dans nos souvenirs. Bof, sauf que la météo nous bloque encore jusqu'à dimanche. Vent d'ouest, et dépressions successives nous font nous interroger sur la prochaine destination, Cadix ou le Maroc. Nous avons par contre rayé Madère, nous verrons pour y faire escale à notre retour, si c'est possible. Météo, Météo, Météo c'est notre crédo.

A bientôt.